La marche prévue le 2 août par le Front commun a été officiellement interdite par les autorités préfectorales d’Abidjan, en raison de préoccupations sécuritaires et logistiques. Le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, a soutenu cette décision, la qualifiant de « sage » et « responsable », surtout à l’approche de la fête nationale du 7 août et en pleine compétition de l’Afrobasket féminin. La réunion entre le préfet, les organisateurs et les autorités a mis en lumière des risques importants pour l’ordre public. Le préfet a proposé une alternative sous forme de rencontre dans un espace clos, rappelant que la liberté d’expression reste garantie malgré l’interdiction de la marche sur la voie publique. Le gouvernement insiste sur son devoir de préserver la tranquillité des citoyens et le respect des valeurs républicaines.
M.B.