Récemment, l’autorité a tenté de faire passer une autre pilule que les Ivoiriens ont jugée de trop. De vrais Ivoiriens se sont levés pour se dresser contre cette énième injustice à l’encontre du consommateur ivoirien… Alors, pour ceux qui étaient absents ou occupés, il s’agit de la tentative avortée de l’augmentation du coût du data* (ndlr : La data est un terme anglais utilisé dans le secteur des télécommunications pour qualifier les données qui peuvent circuler par un réseau téléphonique ou un réseau informatique, hormis les données vocales) en Côte d’Ivoire.
Le consommateur ivoirien, qui chaque jour voit sa bourse diminuer sans qu’il ne puisse faire quoi que soit, voyait en cela une autre façon de le dépouiller. N’ayant pas assez de voix pour décrier ce méfait, il allait sans doute et encore se laisser abuser.
Fort heureusement pour lui, il existe encore des gens dans ce pays sur qui on peut compter. J’ai nommé le brave Député Assalé Tiémoko, le courageux artiste Safarel Obiang sans oublier le brillant juriste Jean Kouadio Bonin. Si les coûts desdits data n’ont pas évolué dans le sens qu’on ne souhaitait pas, c’est grâce à ces héros nationaux.
Car, ces gars-là qui ont influencé la décision de l’autorité au profit des pauvres consommateurs que nous sommes. Oui, ce sont de vrais garçons comme on dit chez nous. Ils sont montés au créneau pour dénoncer cette décision là où les pseudos influenceurs sont rentrés en brousse, la queue entre les jambes.
Pourtant, ce sont ces mêmes qui se sont bâtis une réputation relativement médiocre grâce à ces mêmes datas. Ils bavardent à longueur de journée sur les RS sans vaincre ni convaincre. Ils se disent influenceurs et à la moindre secousse, ils prennent la tangente sans crier gare.
C’est le sage du djassa* qui avait vraiment raison quand il disait que « quand la société gronde, les pseudos influenceurs rentrent en brousse ».
Narcis’K.