« Ces progrès enregistrés par la Côte d’Ivoire sont le fruit de l’efficacité des différents programmes et politiques mis en œuvre par le gouvernement. La mise en œuvre des plans nationaux de développement (PND) successifs, des programmes sociaux du gouvernement (PSGouv I et II) et des différents programmes et politiques sectoriels, a permis d’accélérer la transformation économique et sociale du pays, de promouvoir une répartition plus équitable des fruits de la croissance et une amélioration substantielle des conditions de vie des populations, en particulier dans les zones les plus vulnérables », a précisé Nialé Kaba.
Représentante résidente du PNUD, Carol Flore Smereczniak a indiqué que la publication de ce rapport 2021/2022 intervient dans un contexte caractérisé par des crises exogènes, dont la guerre en Ukraine, l’extrémisme violent et l’expansion des activités terroristes, les catastrophes climatiques et écologiques, etc. Ainsi, ce rapport s’inscrit dans le cadre de la contribution du PNUD aux débats sur les problématiques du développement, d’où le thème « Temps incertains, vies bouleversées : façonner notre avenir dans un monde en mutation. » Il est le troisième et dernier volet d’une trilogie de 3 rapports (2019, 2020 et 2021-2022) qui prend en compte l’impact de la Covid-19 et les changements climatiques de l’anthropocène, l’impact des inégalités et l’insécurité humaine. Par ailleurs, la représentante de l’institution onusienne a formulé des recommandations aux autorités ivoiriennes. Celles-ci portent sur la poursuite des investissements dans le capital humain et le développement des systèmes de protection et d’assurance.
Notons que cette cérémonie a enregistré la présence de plusieurs membres du gouvernement à savoir, les ministres Jean-Luc Assi (Environnement et Développement durable) ; Touré Mamadou (Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique) et Mariatou Koné (Éducation nationale et de l’Alphabétisation) ; ainsi que les représentants des partenaires au développement et des agents du système des Nations Unies, des membres de la société civile, des chercheurs et universitaires. (Le patriote)